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Voltaire
Voltaire
Fiche : VOLTAIRE LE COLLECTEUR
Statut : Collecteur de l'Initiative
Messages : 2
Inscription : 25/04/2024
Niveau de haine : 0
MessageSujet: Voltaire Voltaire EmptyVen 26 Avr 2024 - 17:11
~ VOLTAIRE ~

Voltaire 1714144391-avavoltaire2
SOCIALPERCEPTIONENDURANCECOMBATINTELLECTAGILITELOTERIE
7545671

PERKS & MODIFICATEURS

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Lieu de naissance : Abri 0, Paris, France.
Date de naissance : 2 Février 2147
Race : Humain
Faction : L'Initiative
Santé : RAS - Apte


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INVENTAIRE
- Grand sac-à-dos de collecteur (env. 100L).
- Kit d'hygiène de l'Abri 0.
- Kit de premiers soins.
- Rations alimentaires de collecteur.
- Kit allume-feu.
- Gourde filtrante Vault-Tech.
- Couteau de survie.
- Combinaison antiradiation.
- Pip-Boy de l'Initiative.


Apparence

J'ai toujours été dans la moyenne niveau taille et corpulence. À force de me confronter à des plus grands que moi, j'ai appris à esquiver plutôt qu'à tenter le rapport de puissance direct. Grand d'un peu moins d'un mètre quatre-vingt, pesant soixante-dix kilos, il faut croire que je suis suffisamment affûté pour le métier de collecteur. Sans quoi je serais sans doute déjà mort, à vrai dire. Je pense avoir un physique tout à fait agréable à l’œil, si tant est que l'on aime les moustaches asymétriques, le teint halé, les yeux marrons plutôt sombres et les cheveux ondulés noirs ramenés en arrière. C'est simple, je suis la copie conforme de mon père, en plus jeune et athlétique. Rousseau, mon ami d'enfance, me ressemble beaucoup également. Si bien que dans l'Abri 0 on nous confondait souvent. On en jouait en fait, à se tailler la barbe de façon similaire et à s'habiller avec les mêmes manteaux cousus par la mère Valloton. Une fois, j'ai échangé de copine avec Rousseau. Quand les filles s'en sont rendues compte, nous nous sommes pris de sacrées gifles et de beaux noms d'oiseaux. Mais bon, on aura bien rigolé au moins. C'était le temps où on était un peu insouciants et que les collectes ne nous avaient pas encore flingué le moral. D'ailleurs, si j'ai l'air fatigué, c'est pas que vous m'ennuyez, c'est juste cette foutue vie qui aspire mon âme. Rien d'inquiétant, à part ça.

Personnalité

Partagé entre mon devoir envers l'Initiative et le besoin grandissant de servir à quelque chose pour ce monde, on peut dire que mon nom de philosophe me va assez bien. Je ne prétends pas être au niveau du vieux Voltaire, bien entendu. Ses écrits (et d'autres) m'ont amené à me questionner un peu sur tout ce que j'accomplis jour après jour, pourquoi, comment. Je ne sais pas si la société que l'Initiative compte fonder conviendra à ce que je vois lors de mes expéditions à la surface. L'idée est peut-être de faire table-rase. Devrons-nous passer par un autre massacre afin d'y parvenir ? Sommes-nous légitimes à vouloir imposer notre vision du monde, du futur, à tous ces survivants qui n'ont juste rien demandé ?

Je suis d'avis de dire que cette planète a déjà bien souffert des délires dominateurs des Hommes. Maintenant, il faut bien faire quelque chose. La situation en l'état ne peut satisfaire personne, pas sûr que l'avenir soit meilleur en la matière. On me dit songeur et pessimiste, je me jugerais plutôt réaliste et inquiet quant à ce qui nous attend. Je prends mon temps pour mûrir mes décisions, parce que chacune d'entre elles peut avoir des conséquences sur la vie d'au moins une autre personne. Ce n'est pas rien, non ? Si certains scientifiques du Zéro pouvaient ne serait-ce qu'avoir le début de cette réflexion, ce serait bien. Le Superviseur est sûrement confronté à ces dilemmes, pour autant il ne laisse pas transparaître le moindre doute sur son cap. Je suis à la fois admiratif et effrayé par ce comportement. Un être conscient de son environnement, des autres vies, ne peut pas être absolument convaincu que ses choix sont les bons pour tous. Il sait forcément qu'il y a des gens qui vont rester sur le carreau. Vivre avec, c'est ça le secret. Je n'aime juste pas fermer les yeux face aux injustices. J'espère sincèrement que l'Initiative sera plus humaniste dans les années à venir, au nom du bien commun et d'un espoir possible.

Histoire


Certains disent que ce monde attend son sauveur, d’autres affirment qu’il n’y a déjà plus rien à sauver. Même où je suis né, dans l’Abri 0, la question fait débat. Mon histoire est celle d’un homme à jamais partagé entre ces deux raisonnements.

2147, Mme Victoire De Lierry m’offre la vie, elle perd la sienne. On pourrait parler d’un échange cruel ou tout juste équilibré, question de point de vue. M. Saul De Lierry, mon père, choisit mon nom. Ce sera Voltaire, tiré du surnom d’un philosophe très ancien, du monde d’avant ; le préféré de ma mère paraît-il. Chacun prend l’inspiration où il la trouve, ma foi.

L’Abri 0 n’était pas vraiment le meilleur endroit pour l’épanouissement d’un bambin. Pour autant, nous étions une flopée de gamins à devoir faire avec. Nous n’avions pas tous exactement le même âge, à un an ou deux de différence, nous vivions tout de même un quotidien commun. D’ailleurs, l’école aurait pu être une expérience plaisante, si je n’avais pas été un des plus petits de ma classe. Au fil du temps, j’ai réussi à me faire au moins un ami, Roland Valloton. À force de nous voir toujours fourrés ensemble, notre maître d’école a fini par surnommer mon camarade « Rousseau », en hommage à un autre vieux philosophe. D’après lui, un antique adage français évoquait dans la même expression Voltaire et Rousseau, des inspirateurs de certains mouvements révolutionnaires d’antan. C’est ainsi que nous sommes devenus Rousseau et Voltaire, les inséparables de l’Abri 0.

Les cours se sont enchaînés, les années aussi. Mon père, de son côté, travaillait beaucoup au service des sciences génétiques. Autant vous dire qu’on ne s’est pas croisés des masses durant mon enfance. La plupart du temps, j’étais fourré chez les Valloton. Mon aversion pour les mathématiques n’aidait pas vraiment à capter l’attention de mon paternel. Mais bon, j’étais juste un gosse sans repères dans un monde sans avenir. Et encore, quand je vois la gueule de ce qui se promène à l’extérieur, je me dis qu’il valait mieux être de ce côté du sas pressurisé.

À la fin de mon enseignement secondaire, l’Abri a connu un vent de changement. Le Superviseur Osniaril en a pris les rênes. Avec lui, l’idée d’ouvrir notre communauté au monde extérieur, à ce qui avait survécu là dehors, se renforça parmi nos têtes pensantes. Bien sûr, l’argument principal était de permettre à la science d’avancer plus vite, il n’a jamais été question d’aider directement les survivants de l’Apocalypse. Pas ceux avec de la crasse jusqu’aux oreilles, en tout cas.

Selon ce bon vieux Saul De Lierry, la nouvelle supervision permettrait d’enfin explorer le champ des possibles. L’humanisme en plus, on en ferait un grand homme de ce type-là ! Hélas, il n’y avait pour lui que l’intérêt technique, universel. Tant pis si, en attendant, des milliers de personnes devaient subir des atrocités. Du moins, s’il ne les souhaitait pas particulièrement et n’en était pas responsable, mon père ne comptait rien faire de particulier pour en changer l’issue immédiate. Comprenez par là que sa vision c’était le futur avec un grand F, le morne et stérile présent ne l’intéressait guère.

Petit à petit, les éducateurs se sont mis à former ce qu’ils ont appelé des « collecteurs ». Il s’agissait de volontaires parmi la jeunesse, dont la mission était d’explorer tout bientôt les terres désolées plusieurs jours durant, autrement dit pendant des opérations extérieures à durées indéterminées. Survie, bases du combat, sens de la communication, rudiments d’informatique et de mécanique, bref tout y passait. Parce qu’une fois dehors, il n’y avait plus que vous face à un monde quasi totalement hostile. L’occasion de sortir de ce trou, avec Rousseau, était alors trop belle.

Lorsqu’on me remit mon diplôme de collecteur assermenté, mon père m’offrit les livres du fameux philosophe Voltaire. À mes yeux, ils étaient les derniers vestiges d’une mère perdue avant tout. On ne se connaissait pas beaucoup en réalité, cet homme et moi, mais on pouvait dire que cette fois-ci, ne serait-ce qu’une fois donc, le vieux Saul avait visé droit au coeur. Malgré la forme ancienne de l’écriture et des passages plutôt incompréhensibles pour notre époque, j’ai dévoré chacun de ces ouvrages.

Environ un mois plus tard, Rousseau et moi, ou le gang des moustaches comme on s’appelait, avions fini par persuader les administrateurs de nous faire partir de l’Abri ensemble. Plus à l’usure qu’au vrai talent argumentaire, certes, mais seul le résultat comptait ici. En effet, les premiers collecteurs étaient majoritairement organisés en binômes, par souci de chances de survie. La plupart des « lauréats » flippaient comme jamais, mais pas nous. Pas nous, parce que même avec nos petites gueules de mignons petits veaux d’abri, je vous assure qu’il ne fallait pas nous chauffer. Avec le temps, on était devenus comme deux jumeaux, surtout avec nos moustaches et nos longs manteaux cousus à l’identique. Les autres, dont ceux qui nous chamboulaient bien des années plus tôt, avaient compris qu’on allait toujours au bout des choses avec Rousseau. Nous comptions l’un sur l’autre sans réserve, peu importaient les pronostics.

Notre fringant duo était bêtement ravi de sortir de l’Abri 0. On a vite compris pourquoi une bonne part des étudiants s’arrachaient le cerveau dans l’optique d’obtenir une place dans les départements scientifiques. Ces gens-là aspiraient à une vie bien planquée, épargnée de la violence. Pourtant, personne ne savait vraiment, non ? Personne, à ce moment-là, n’était capable d’affirmer l’horreur qui nous attendait. Je soupçonne aujourd’hui encore les aînés, dont le Superviseur et mon père, d’avoir déjà mis le nez dehors au moins une fois avant la formation des collecteurs. Néanmoins, je dois avouer qu’il m’est impossible d’étayer cette théorie. L’Abri, pour ne pas dire Vault-Tech, cache ses secrets et le fait souvent très bien.

Dès la deuxième semaine à la surface, Rousseau s’est fait arracher la moitié d’une jambe en croisant la route d’un fangeux immonde. J’ai pour ma part failli me faire couper la main par des cannibales complètement cinglés. En fin de compte, c’est avec mes balles de 10mm que j’ai rempli leurs ventres creux. Mon camarade m’avait charrié un peu plus tard sur le fait que j’avais certainement sauvé ma vie sexuelle sur ce coup-là. En retour, je lui ai gentiment rappelé que, pour courir les jupons, c’était tout de même plus facile d’avoir ses deux jambes. Il a ri, mais beaucoup moins longtemps et moins fort que d’habitude. Heureusement, il avait encore, lui aussi, ses deux mains...

Notre premier butin en tant que collecteurs était plutôt médiocre, évidemment. Toutefois, on ne pouvait pas se permettre de continuer notre excursion avec un estropié mal en point dans l’équipe. Sous oublier que nous étions relativement sous-équipés, par rapport aux forces hostiles rencontrées. Mon humanisme autrefois naissant, grâce à la lecture de Voltaire, en avait pris une sacrée claque. Parce que bon, qu’une bête dégénérée nous attaque passe encore. Mais les humains, « nos frères », étaient en majorité et de loin les pires espèces qu’on avait croisées. Bien sûr, il n’y avait pas que des fous dans le lot. Toutefois, que peut accomplir une faible proportion d’esprits sains face à un océan de décadence ?

À notre grande surprise, de toutes les équipes déployées, Rousseau et moi n’étions pas les plus désastreuses. Certaines ne revinrent jamais, sans doute déchiquetées par on ne sait quelle créature dans les rues chaotiques de Paris. Rousseau fut opéré en urgence et reprit du service rapidement, une fois familiarisé avec sa prothèse. Dans le cadre de cette seconde « collecte », les administrateurs prirent soin de mieux nous parer aux éventuels problèmes de l’extérieur. Nos tenues antiradiations furent renforcées, nos stocks de nourriture, munitions et explosifs doublés. En recoupant les informations de chaque équipe, les cartes interactives de nos Pip-Boys s’étaient bien étoffées également.

Pour Rousseau et moi, il était hors de question de se faire rétamer comme la première fois. Nous partîmes en direction de lieux déjà repérés comme les plus développés par les survivants. C’est lors de ce second tour que Terminus s’ouvrit à nous. L’anarchie de cette ville souterraine allait de pair avec l’absence d’autorité dominante. Cette communauté, imprégnée de mœurs criminelles profondes, constitua une source d’informations on ne peut plus riche. En veillant à qui nous nous adressions, par souci de sécurité et de discrétion surtout, nous apprîmes beaucoup de choses sur le contexte global de la région Parisienne. Les factions actives étaient plus que de simples bandes de malades mentaux, pour le meilleur et pour le pire. Certaines d’entre elles disposaient de moyens colossaux afin d’imposer leurs lois et leurs gouvernements. Celles-ci pouvaient autant devenir des ennemis dangereux pour l’Initiative que des alliés intéressants.

Quelques semaines s’écoulèrent de nouveau, puis vint l’heure de notre retour à l’Abri 0. Ce coup-ci, nous étions triomphants, nos sacs remplis de « trésors » d’avant-guerre, comme de nouvelles technologies développées par les survivants. Cette deuxième collecte était la promesse d’un avenir plein de trouvailles et d’avancées pour l’Initiative. Les années qui suivirent, les collecteurs devinrent de véritables agents spéciaux de l’Abri. Notre réseau d’informateurs, de fournisseurs, de contacts en général finit par former un beau maillage de Paris. Nous avions tissé une toile d’araignée, présente dans chaque localité digne d’intérêt, mais que personne ne remarquait tout à fait, car elle s’était formée d’abord dans tous les petits recoins sombres.

Depuis plusieurs années maintenant, les meilleurs collecteurs sont capables de s’aventurer en solitaire à l’extérieur du Zéro. Les plus chouchoutés du lot ont le droit à un rob-homme en guise d’assistant ou de mule. Autant vous dire que je n’en fais pas partie. D’ailleurs, Rousseau et moi avons dû nous plier aux derniers ordres en date. Dès à présent, chacun part de son côté lorsqu’il embarque dans le grand ascenseur pour la surface. Il arrive que nous nous croisions de temps à autre, bien sûr. Nous unissons nos forces au besoin, comme nous l’avons toujours fait. Cependant, plus le temps passe et plus l’aigreur du monde me gagne. M’éloigner de ce vieil ami a joué, de toute évidence. Je sens tout de même qu'il n'y a pas que ça. Je perçois en moi une forme de lassitude par rapport à mon rôle dans la grande histoire. Comme si mes missions s’enchaînaient, sans peser concrètement dans la balance.

Voltaire, ce nom me tiraille un peu maintenant. Les écrits de cet antique philosophe avaient une raison d’être. Les convictions évidentes de ce Voltaire semblaient si puissantes qu’elles avaient inspiré les Hommes de son temps. Où étaient passées les miennes ? Allais-je devoir collecter encore et encore, sans fin en somme, des fragments de civilisations ? L’Initiative ne s’appelait-elle pas ainsi justement pour prendre les problèmes à bras le corps ? De ce que j’ai compris, l’actuelle directrice de notre département des sciences sociales, les « lettreux » comme mon père les appelait, était favorable à cette idée. Peut-être que mon destin allait donc se tourner vers le courant du Docteur Méridien. En tout cas, cette partie de l’histoire ne demande qu’à être écrite. En attendant, l’heure de la prochaine collecte vient de sonner. Et comme on dit au Zéro : pour la grande collection, vive l'expédition !

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Ibrahim Meunier
Ibrahim Meunier
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MessageSujet: Re: Voltaire Voltaire EmptySam 27 Avr 2024 - 17:22
Hello Voltaire, bienvenue sur le forum !
A tantôt pour des récits palpitants de collecteurs/récupérateurs !
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Le Marchand de Sable
Le Marchand de Sable
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MessageSujet: Re: Voltaire Voltaire EmptyDim 28 Avr 2024 - 14:17
Bonjour cher Voltaire.

Avant toute chose, bienvenue sur Fallout Résurgence. 

La lecture fût très agréable, je te prédestine à de grandes choses.. ou peut-être que tu te feras bouffer par un chien. Qui sait ?
Petit point : tu n'as choisi que trois perks ? Est-ce par choix ? Tu peux en choisir jusqu'à cinq ! Je te laisse regarder tout cela en détail. 

Pour moi, en tout cas, c'est validé. 

+ N'oublie pas de remplir ton profil. Une fois fait, ping moi sur Discord ou par MP et je t'ajoute ta couleur. 


*coup de tampon*


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Voltaire
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MessageSujet: Re: Voltaire Voltaire EmptyLun 29 Avr 2024 - 19:43
Merci ! J'ai édité les Perks du coup. Au moment du poster, j'étais indécis sur les 2 dernières à choisir.

J'ai également ajouté mon avatar sur mon profil. Je crois qu'on est tout bon cette fois !
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MessageSujet: Re: Voltaire Voltaire Empty
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Voltaire
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