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MessageSujet: Capitale : La Citadelle Capitale : La Citadelle EmptyMer 20 Sep 2023 - 18:13
Capitale : La Citadelle Jc77

La Citadelle

La Citadelle est la plus grande ville des terres désolées construite dans les ruines du quartier de la Défense.

Lorsque le projet Safehouse fût lancé dans les années 2060, le gouvernement du Commonwealth Européen commanda à Vault Tec une série d'abris anti-atomique situés dans des lieux stratégiques afin de sauvegarder ses institutions en cas d'une potentielle attaque nucléaire. Lorsque celle-ci survint un jour d'Octobre 2077, le gouvernement français pu trouver refuge dans l'Abri 1 construit dans le quartier de la Défense.
A sa réouverture, 75 ans plus tard, les descendants des politiciens, magistrats et grands officiers ne retrouvèrent qu'un champs de ruines. Ces sur ces décombres qu'ils décidèrent de bâtir leur ville et de fonder la nouvelle république, la Septième.

A l'échelle des terres désolées, la Citadelle est une ville monstre avec ses 6000 habitants. C'est un centre politique, industriel, commercial et culturel qui se veut le fer de lance d'une nouvelle civilisation, une nouvelle Rome.

Les remparts
La Citadelle est circonscrite dans une puissante muraille de 10m de hauteur qui englobe les 80 hectares de la ville en suivant l'ancien boulevard circulaire. Faite de béton armé, les 3,5km de remparts sont gardés aux angles par des miradors et protégés jour et nuit par les légionnaires dont certains équipés d'armures assistées et d'armes lourdes. Elle est percée par trois portes : la porte principale, la seconde porte et la porte de ???.
La première est la porte utilisée par tous, voyageurs, marchands et simples citoyens. Elle se situe au bout de l'ancienne esplanade de la Défense donnant sur le pont de Neuilly. Un poste de contrôle militaire y vérifie les entrants et inspecte les marchandises. Il fait office de douane, les marchands y payent les taxes et les entrants sont contrôlés et fichés.
Les deux autres entrées sont des portes annexes utilisées uniquement en cas de besoin, notamment par les officiels afin d'éviter la foule de la porte principale. Elles sont rarement ouvertes mais restent bien gardées.
Pour les étrangers venant pour la première fois, l'entrée dans la Citadelle est longue et fastidieuse car il faut passer une série d'inspections et de visites médicales. A l'issu, on fourni un certificat qu'il faudra présenter aux postes de contrôles. Les soldats sont intransigeants et n'hésitent pas à mettre à la porte (ou en prison) celui qui ne passerait pas les contrôles.
Si a l'intérieur de la ville la sécurité est assurée par la police, sur les murailles et en dehors ce sont les soldats de la Légion. L'armée n'a pas le droit de pénétrer dans l'enceinte de la cité depuis une loi du Parlement.

La ville est divisée en plusieurs quartiers résidentiels marqués par la ségrégation sociale : si le quartier Artémis accueille l'élite de la nouvelle république, la ville cache sa misère dans le quartier de la Crécerelle alors qu'une classe moyenne habite dans les deux quartiers du Commonwealth.

Le Commonwealth-Sud et le Commonwealth-Nord
Une fois passé la porte principale et le poste de contrôle, on arrive sur la grande avenue du Commonwealth menant tout droit jusqu'au parvis du Nouvel-Elysée. De chaque côté de l'avenue centrale s'étendent les deux quartiers jumeaux du Commonwealth-Sud et du Commonwealth-Nord.
Ici, à l'intérieur des remparts, on se croirait presque revenu dans une ville d'avant guerre. Tout y est calme et propre, la grande avenue piétonne abrite des espaces de repos et de loisirs, bordée d'arbres, de jardinières en fleurs, de petites fontaines à l'eau potable, le tout bien entretenu par une armée d'esclaves publics assistés de Mister Handy reprogrammés par les ingénieurs de la Septième.
S'il reste des travaux à faire, une grande partie de la Défense a été réhabilitée en suivant un plan urbain réfléchi. Les rues sont pavées, déblayées de leurs gravats, les murs des bâtiments ont été restaurés et repeints, bien souvent recouverts d'images de propagande pour encourager à s'engager dans la Légion ou dans les colonies.
Bien sûr il ne faut pas trop lever la tête car les sommets des grandes tours, difficiles d'accès, gardent les stigmates de la chute des bombes. La plupart des bâtiments sont reliés à l'électricité, à l'eau courante, aux égouts, au chauffage et à tout le confort d'avant guerre. La police, anciennement les gardes de l'Abri 1 toujours reconnaissable à leurs uniformes Vault Tec, patrouille régulièrement pour assurer l'ordre et la sécurité des citoyens.
La Citadelle se veut une vitrine de la puissance de la république, elle montre aux terres désolées ce que le gouvernement est capable.

Les deux quartiers du Commonwealth accueillent une classe moyenne plutôt précaire, des citoyens de seconde zone et des étrangers qui travaillent pour la plupart dans les manufactures de la ville. Les lois d'obtention et d'expulsion des logements sont très strictes, les travailleurs devant se tenir à carreau s'ils ne veulent pas se retrouver à la rue. Mais beaucoup de ces logements restent vides, en attente de réhabilitation ou de locataires. Il est très facile de se cacher dans les tours désaffectées et bons nombres de fugitifs et de hors-la-loi s'y cachent malgré les efforts des autorités pour condamner les lieux.

Le quartier Artémis
Quartier sécurisé où vivent les familles les plus aisées, il est entouré d'une muraille gardée par la police et des postes de contrôle. Il doit son nom à la tour Artémis, la plus grande de la Défense qui accueillait avant guerre les bureaux de Vault Tec Corporation. A l'ouverture de l'Abri 1, elle fut la première tour à être réhabilitée.
Les appartements y sont très luxueux, agrémentés d’œuvres d'art récupérées dans les ruines des musées parisiens. On y trouve un restaurant gastronomique servant les plats les plus fins des terres désolées, et une salle de théâtre où viennent jouer les troupes ambulantes les plus renommées. Lors des restrictions énergétiques, c'est le seul quartier a rester alimenté.
La plupart de ses habitants sont les descendants des résidents de l'Abri 1 qui forment encore à ce jour l'élite de la société.

Le quartier de la Crécerelle
Quartier populaire de la Citadelle, il doit son nom aux faucons crécerelles qui ont trouvé refuge dans les immeubles abandonnées.
La ville fût victime de son succès, attirant à elle beaucoup trop d'habitants pour ses capacités. Le gouvernement décida de cantonner les plus miséreux dans une zone à l'écart, dans des immeubles en ruine. C'est l'envers du beau décor de la Citadelle, là où la ville cache sa misère.
Au départ la situation devait être temporaire, le temps de réhabiliter toutes les tours, mais les travaux prenant du retard, la population s'est accumulée anarchiquement jusqu'à former un espèce de bidonville d'HLM crasseux.
C'est un quartier composé essentiellement d'esclaves, de travailleurs non qualifiés et de marginaux.
La vie y est très précaire, les bâtiments ne sont pas raccordés à l'eau ou à l'électricité, ici prime la débrouille et la solidarité. Le marché noir y est très important, les contrebandiers font la loi. La zone est gangrenée par le jet et les junkies qui troublent l'ordre public.
On soupçonne le gouvernement de laisser faire afin de montrer un exemple, un contraste pour d'encourager au travail et montrer aux privilégiés tout ce qu'ils doivent à la république.

Le parvis et le Nouvel-Elysée
Capitale : La Citadelle Zvy3
Loin du tumulte de la ville, à l'extrémité ouest de la dalle de la Défense, se tient la grande place du parvis.
C'est le centre politique de la Septième avec le Nouvel-Elysée construit dans les ruines du centre national des industries et techniques, qui abrite la résidence du Président et les bureaux des ministres, le Parlement et plusieurs tribunaux.
De l'autre côté du Nouvel-Elysée, dans les ruines d'un ancien centre commercial, se trouve le grand hôpital de la Citadelle, le seul véritable centre de soin des terres désolées. Il est associé à un hospice, un orphelinat, une maternité, une académie de médecine et une grand bibliothèque disposant de plusieurs centaines d'ouvrages dont certains introuvables ailleurs.

Au bout du parvis se dresse toujours fièrement la Tour Lumière Cybernétique.
Lorsque la Citadelle fût fondée, on ralluma la Tour. Elle est depuis devenue le symbole de la ville, son phare dans la nuit, sa lumière visible des terres désolées rappelant la présence de la Septième.
On dit que tant que la Tour brillera, la république ne pourra pas faiblir.

Personnages importants
Capitale : La Citadelle Bcx6
Monseigneur Balian
Père Balian est le confesseur de la Citadelle depuis 12 ans.
Enfant des terres désolées, oblat à Notre-Dame avant de devenir moine, il voyagea longuement comme prédicateur avant de s'installer à la Citadelle.
Grâce à son charisme naturel, il devint l'une des grandes figures du Ratom, le parti politique atomiste. C'est un fervent défenseur de l’Église et de ses valeurs.
Actif soutien du Président Jean-Eudes Hénin, c'est en parti grâce à lui qu'il a été élu.
Balian a une grande influence sur le petit peuple de la Citadelle, très empreints de superstitions. C'est grâce à son intercession que la république parvient à contrôler ces quartiers parfois turbulents.
Homme ambitieux, on le voit succéder à monseigneur Piolat pour devenir le nouveau chef suprême de l'Eglise d'Atome.






Capitale : La Citadelle Gjlr
Jacques Eloin
Jacques Eloin est le fondateur du journal l'Oppidum Gaulois. Il en est le reporteur principal, le rédacteur en chef et le photographe. En vérité il est le seul employé de ce petit journal indépendant.
Curieux et malin, il aime enquêter sur les affaires louches et révéler les scandales d’État. Il a déjà eu plusieurs démêlés avec la justice et garde les traces des coups de matraques venues punir sa curiosité.
L'un de ses articles mena à l’arrestation de Victor Ignoval suite aux attentats contre les goules de la Citadelle en 2173.





Capitale : La Citadelle 9xsl
Victor Ignoval
Victor Ignoval est l'un des fondateurs du parti néofasciste Anti-Rad
Il est l'inventeur des "goulonades", des descentes visant à s'en prendre physiquement aux goules de la Citadelle, ce qui dégénéra par la mort de 13 goules lors de la nuit des barbares. Condamné à 15 ans de prison, il est sorti au bout de 4 ans pour bonne conduite, provoquant l'indignation chez les goules et une partie de l'opinion.
Jeune homme charismatique, sa capacité à captiver l'attention du public sur des discours goulophobes a permit à son parti d'entrer au Parlement aux dernières élections.
Toujours excité, souffrant d'un problème d'hyperactivité, il se bourre constamment au psycho
Son séjour en prison lui permit de développer ses idées sur une humanité épurée, débarrassée des goules qui avilisse l'espèce.



Sources images : Patrik Antonescu ; Marooned on Tuesday
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